les adieux
Tout au fond pierres et eau ,
quelques os blanchis sur lequel reposent les mères.... fières
et toujours la pêche aux mots la criée, les sanglots
et toujours jetés au vent les mots
et la vie dans les ventres à enfouir
vendredi 25 septembre 2009
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Le Khorasan est un pays étrange
RépondreSupprimeraux noms brilants comme coupoles.
Les caravanes s'y croisent
sur la route de la soie.
Les montagnes y volaient
légères dans le ciel,
avant que le dieu de l'orage,
jaloux coupe leurs ailes.
Là sur les pierres des déserts
où souffle le vent,
on dit que les nomades
sur de grands plats d'argent recueillent
les chansons du pauvre Yunus
pour les manger sous les étoiles.
Ainsi,
comme les nénés du Demavend
éblouisent de blanc le gris de ses versants,
accroche ce qu'il reste de lumière au ciel
et garde sa main dans la tienne.
" La pêche aux mots, la criée..."
RépondreSupprimer:-))
je pense à Jibé....."le chalutage et la criée"...la même idée chez deux poètes. ça me touche...
aglaé